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La Peche.


        Dans le debut, l'emigration pour Georguy AdamovichZapol'skij qui avait 36 ans s'est formee extremement mauvaisement. Iln'y avait pas d'argent et la chance de recevoir le " Green Card "etait droit proportionnel au leur absence. De l'icone du Sauveur et laNotre Dame apportees par hasard par lui-meme, etaient les seuleschoses qui pouvaient corriger quelque peu les affaires. En effetGeorguy Adamovich ne comptait pas les transporter. " Sois que sera",-il a pense, en jetant ceux-ci au sac. Mais si il l'avait ouvert, can'aurait pas ete grand la perte. Pour le bonheur le douanier n'a pasouvert precisement ce sac. Les icones ordinaires - "krasnuhi", fin de19-eme siecle. En Russie dans le meilleur cas on peut donner pourcelles-ci cent dollars. Mais ici on pourra arracher 4 mille a l'issuereussi. Pour cet argent on promettait a Zapol'skij de faire les actesde naissance sur Moche Zalmanovich Kaplan. Il restait a trouvaitl'acheteur necessaire Georguy Adamovich ressemblait selon les eglisespeu nombreuses russes, descendait au centre juif et tenait bientotdans les mains l'adresse du proprietaire de la vente aux encheresd'ayant pas tellement reussi dans la langue des ancetres. C'etait unepersonne haute, maigre rajeunissant. Il avait petit cheveux rare etgris ; la barbe liquide et coloree. Il possedait le diamant minusculedans l'oreille froncee et le saphire de meme taille sur le petit doigtdu bras droit. Il minaudait et parlait sur voix glapissant. Lesconstants ha-ha, hi-hi et "la betise, la betise!" denoncent en lui letype colerique de homosexuel passif et cynique.
        - Comme au compatriote… - Zapol'sky s'est arrete, sans savoir ou bien appeler le comte votre ayonnement, mais ou bien votre noblesse.
        - Igor' Zhanovich,-le comte s'est presente ayant vu la confusion du client.-Et comment est votrepatronyme? Georguy Adamovich s'est presente.
        - Donc, Igor' Zhanovich,comme au compatriote je Vous le vendrais pour 5 mille, Zapol'skij adit en augmentant le prix plus que maximum.
        - Vous, Georguy Adamovich, vouloir faire hi-hi! Comment ca en russe? Rire par moi! - Pourquoi rire? C'est assez bon prix,- Zapol'skij a dit avec la fierte, enreniflant (en soufflant) et poussant les icones dans le paquet.
        -Ecoutez - moi, jeun homme. Il ne faut passe vexer. Je Vous donne poureux 1500 mais seulement parce que Vous etes attrayant pour moi -comment ca en russe? - sympathique. Croyez-moi, Vous ne gagnerez pasplus que ca. Vous etes d'accord ?-le comte a dit ayant frappe GeorguyAdamovich amicalement a l'epaule. Et il s'est arrete aupres de tableauqui etait semblable au dessin ingenieur. Georguy Adamovich a tombesilencieux ayant jete un coup d'?il au tableau. Il etait horsd'haleine et cillait comme un enfant.
        - Vous etre afflige par mon prix?-le comte s'est interesse en voyant la confusion del'interlocuteur…
        -Non, non, moi non sur cela. C'est le tableau. D'ou le chez vous ? - Georguy Adamovich a indique la toile pendant.
        -O! C'est l'artiste russe tres connu. Malevich! Vous savez "Black Square". Si Vous m'aviez apporte tel tableau, je Vous aurais propose … peut-etre …- et le detenteur d'enchere a assigne le chiffre significatif.
        -J'ai une question peu impudique,- Zapol'skij hesitait.
        -Vas-y !-Le Comte a claque Zapol'skij amicalement dans l'epaule.
        - D'ou il est chez Vous ? - demanda Georguy Adamovich avec l'inquietude dans la voix.
        -En effet, c'est le secret commercial. Mais je vais Vous le raconter puisque Vous me plaisez beaucoup. Je l'ai achete au Gamburg chez le collectionneur prive. Ce n'etait pas cher. Ce tableau a la genealogie vague. Quelque chose de la mafia. Mais j'en ai pris. Je suis bien russe. Et c'est mon devoir de me soucier de la culture nationale. Donc, Vous m'allez vendre votre tableau ?-avait-il dit en s'eloignant de la peinture. Ok, j'augmenterai le prix a cause de sympathie a Vous.
        "Sympathique .A cause de la sympathie. Il repete comme un perroquet,- avait panse Georguy Adamovich.- Si tu m'avaits rencontre beaucoup d'annees avant, tu aurais donne tous ton "altezahen" (le boutique du bric-a-brac en yiddish)."
        Georguy Adamovich se montrait en peu modeste : en effet il etait bien attrayant meme aujourd'hui. Avant …il fut vrai beau garcon et ressembla au prince en porcelaine henne.
        Et il eut meme autre nom- Micha Krasavin, ou plus simple Michel.
       
        Garcon charmant : les mains aristocratiques et en peu bleuatres avec les doigts mobiles et sensibles. Les yeux felins verts. Le nez droit et fin. Les cheveux marron epaisses et legerement boucles. La tete de forme antique dans quelle le Createur ne remplit pas le verre mais le bon quantite de substance grise. Et ce garcon l'adapta au monde changeant. A la presente le proprietaire de ceux parametres pourrait etre sans peine l'amant de grand couturier avec le sexe -orientation specifique. Mais a ces temps la tous les couturiers furent vieux ou maries et les personnes d'orientation specifique eurent les caracteristiques negatives.
        Michel rencontra Serge par hasard. La compagnie des etudiants feta l'Anniversaire. On ne souvient pas de qui. Ce fut bruyamment, ivrogne. Michel fut necessaire a tous.
        -Michel est avec moi ! Michel, vient ici !-crierent les dames s'enivrant du cognac et champagne.
        A fin de soiree Michel ayant bu assez bien, s'est trouve dans la compagnie de deux inconnus.
        "Ah!!! Quel bon garcon ! La vrai Peche !" -exclamerent -ils et regalerent avec du cognac francais.
        -Mes amis, peut-etre il vaut mieux d'aller chez moi ? Je trouve qu'ici est trop chaud.- offrit l'homme bas, rond et friable comme un pomme de terre digere .Il s'est presente comme Sergey Antonovich.
        -Ah, oui ! Il vaut voir les restaurants russes apres 22 heures. - avait dit Eric, le dentiste de Riga, isonnant et imposant.
        - Cheri,- avait appele Sergey Antonovich le garcon sur le doux voix feminin. -Cheri, commandez le taxi a mon nom s'il Vous plait.
        Les hommes mirent les manteaux de cuir chers et se dirigerent vers la sortie.
        Il plut.
        Il sentit de tabac et de simili cuir dans le taxi mais dans l'appartement de Sergey Antonovich il parfuma de bronze et des tapis naturels. Les verres des fenetres furent caches par les stores de velours lourds. Les petits morceaux de chocolat coulerent dans les coupes du champagne.
        Les tableaux abstraits qui ressemblaient aux dessins ingenieurs furent suspendus sur les murs.
        Eric fut tant exalte par ce calembour graphique et artistique que il importuna au maitre de lui en vendre.
        -Je vais Vous donner la somme passable.
        -No, no, no!!! Pas de questions! Peut-etre on pourra convenir sur Kandidsky, mais pas Malevich !
        -Je peux Vous offrir Falk et Machkov a sa place.
        -Ha ha!- avait glousse Sergey Antonovich. Michel, Vous entendez cette sottise ? !
        Est- ce que Vous echangeriez Malevich pour Falk ?!
        -Je ne sais pas… Je ne sais rien sur l'avant-garde… J'aime bine la peinture realiste. Par exemple, Chichkin.
        Sergey Antonovich sourit malicieusement.
        -Votre Chichkin est un badigeonneur conservateur - formaliste, une mazette. L'idee, l'esprit sont importants dans l'art mais pas la realite. Quoique il n'y a ni l'idee, ni l'esprit dans l'univers. Les tenebres, le froid, la futilite et le chaos sont les seules choses qui existent. "Le carre noir" est notre vie.- Sergey Antonovich soupira a la theatrale et exclama a la fois joyeusement :
        - Ailleurs, oublions les carres ! Il vaut mieux vivre ! -il avait verse le cognac dans les petits verres.
        A une heure du matin Eric avait ete pret d'aller a l'hotel. Michel aussi s'etait dirige vers la sortie.
        - Mais Michel ! Mon petit Michel ! Ou venez Vous ? Vous habitez pourtant dans un autre bout de ville. Vous ne seriez pas la vers le matin. Restez ici. Vous pourriez dormir comme un invite au dortoir. Et moi, je pourrais me ranger ici, comme vieil homme, sur le canape…
        Michel s'endormit, mais il se reveilla dans l'etreinte ardente de Sergey Antonovich.
        - Que est-ce que Vous faites ?-Michel poussait rudement le hote hospitalier.
        -Aime-moi, mon garcon !- Sergey Antonovich chuchotait passionnement.
        -Vous etes fou ?! Je suis Micha, pas Macha !-avait dit Michel indigne.
        -Ne me refoule pas, mon mignon garcon. Aime-moi …ma Peche ! Desire-moi ! Mon garcon ! Appelle-moi Serge…-murmurait Sergey Antonovich en se frottant desagreablement avec sa brosse de la joue de Micha.
        -J'aime les femmes !- avait ecrie Michel.
        -Que ce que ces creatures degoutantes peuvent te donner ? La blennorragie, les problemes, les enfants. Mais moi, je peux t'offrir tous que tu veux. Juste aime-moi, mon garcon. Permette-moi d'effleurer ton sucoir fin, laisse-moi de sentir le charme de ta peau tendre rose. Prende-moi, ma Peche, et je te donnerai tous ! - marmotta Sergei Antonovich avec les yeux flamboyants….
        Quand Michel a ouvert les yeux, le matin avait deja ete de l'autre cote de la fenetre. Le soleil pale eclairait la couche chiffonnee par la passion.
        -Tu sais, j'aime exactement la premiere nuit. Et tu sais pourquoi ? -avait demande Sergei Antonovich.
        -No,- avait dit Michel en fumant.
        -Puisque il y a les contrecoups de dernier. Mais il n'y a pas entre eux ni deuxieme, ni troisieme, ni centieme…
        - Oui, Serge, cette nuit etait premier et la derniere dans notre relation. Je ne suis pas le tapett et je ne lui vais pas devenir,-avait declare Michel.
        -Ecoute, Micha. Je ne te force pas d'etre homosexuel. Mais je veux que tu sois mon ami.
        -Ah, tu veux que je devienne un ami du fit !-avait exclame Michel.
        -Mais pourquoi tu popularises tous ! Ce que on a fait au lit n'etait pas cela que tu vois dans le mot vulgaire "fit". Mon homosexualite est une forme de manifestation du individu dans la societe impersonnel. Tu comprennes?- Sergei Antonovich continuait en machant le saucisson avec le cafe bresilien.
        -C'est un truc verbal. A mon avis, tout est bien simple. Homosexualite est une maladie.
        -Et moi, je te dis que la vie est forme de schizophrenie? Que est ce que t'en penses?-Serge avait objecte.
        - Je te dis la banalite. Les gens mettent au monde les gens. Que est ce que tu peux offrir?
        - Ca n'est pas le probleme! - Sergei Antonovich avait exclame. -Comment on peut quitter maudit carre noir ou on a ete pousse par la sexualite et inegalite des deux sexes! Homosexualite est premier pas de humanite vers l'etat d'ange asexue. Ce n'est pas un delire. C'est une loi d'evaluation !
        -Ca pareil au slogan. En effet, je suis en retard au l'universite.
        -Bon, oui… Mais on peut continuer notre petit entretien cette soiree. Et ca est pour ma "peche gentille" -avait dit Sergei Antonovich en mettant son numero de telephone et une coupure de 25 (pour les bonbons) dans la poche de Micha.
        Etant sorti de la entree, Michel voulu de jeter l'adresse. Mais finalement il devint l'ami de Sergei Antonovich. L'aide de Serge a son petit ami etait suffisant pour la vie aisee.
        Il pleuvait. Le vent balaya la neige. Des que les iris eurent fleuri, Serge et Michel se furent rendus a la cote de Riga. Ils vivaient a la grande datcha florissant. Les vagues, comme les amants las, poussaient un soupir par dela la fenetre ouverte.
        La semaine etait excellente, mais Eric importunait de "schema de bicyclette", pendante dans l'appartement de Sergei Antonovich.
        -Eric, ecoute ! Elle n'est pas a vendre.
        -Mais si tu decides, tu doit le vendre seul a moi !-insista le dentiste sur le quai.
       
        Etant rentre chez soi, Serge s'ennuya et broya du noir contre toute attente. Il etait petit avec des cheveux comme glacons tombees sur le front ride. Il ressemblait a la patate germee.
        -Michel, mon bel! Il peut arriver que je doive partir. Peut-etre pour longtemps. Dit-moi, mon garcon, est-ce que tu vas attendre ton Serge?
        Sergei Antonovich regarda Michel avec les yeux tristes, gros de larmes.
        -Serge, explique-moi ce qui arrive avec toi ces derniers temps ?-Misha avait demande en evitant la question.
        -Bien sur, non ! Lorsque Serge aura franchi le seuil, mon garcon plongera au lit de "amiral de la Flotte" ! Je note depuis longtemps comment vous souriez gentiment a la vue de lui !- Sergei Antonovich n'a pas vraiment fait attention a la question de Michel.
        -Serge, tu commence de me bassiner. Je vais partir assez plus tot que tu quittera pour ton voyage mythique !-Michel avait promis severement.
        -Non, non ! Ne quitte pas, mon garcon ! Pardonne-moi, ma petite peche.- Sergei Antonovich geignit.
        Celui qui etait le "amiral de la Flotte" pour Sergei Antonovich etait en effet l'enseigneur a l'ecole militaire. L'apparence aristocratique et la prudence occidentale s'unissaient dans cet homme avec la nonchalance orientale et l'astuce. Il niait par cela meme la these de Kipling que
        "L'Ouest est l'Ouest, et L'Est est L'Est. Et ils ne peuvent se rencontrer jamais".
        - Ecoutez, Michel. J'ai une offre d'affaire pour Vous.- avait dit amiral de la Flotte en mettant a pleines mains la vodka dans les verres de restaurants.
        Michel mit la fourchette a cote.
        -Mangez-Vous mais ecoutez. Prenez le caviar. Bon…Savez-Vous, mon petit Micha que les jours de Sergei Antonovich sont comptes.
        -Il est malade ?-Michel palit.- SIDA ?
        -Mais non! Serge est une fretillon.
        Je parle de ses jours en liberte. Evidement, Vous ne savez pas que Sergei Antonovich est sur l'enquete.
        -Non.- avait dit Michel en avalant sa salive.
        - Son affaire sent la prison avec la pleine confiscation des biens. Vous comprenez a quoi je fais allusion ?-"amiral de la Flotte" avait demande en murmurant.
        - Vous voulez que Serge copie tout son bien sur moi ?-Michel avait interesse avec la sourire force.
        Michel ne savait presque rien sur la vie de son grand ami Sergei Antonovich. Il peut juger seulement sur les bribes de conversation des autres et le racontes de Sergei Antonovich lui-meme… Sergei Antonovich commencait son metier comme collaborateur scientifique adjoint dans la musee d'art et finissait dans Ministere de la Culture au departement donne des consultations a l'institution au sujet des avoirs confisques.
        Mais selon l'interpretation "d'amiral ", Sergei Antonovich ecoulait habilement des avoir aux personnages haut places, aux connaisseurs en baux arts. Et, biensur, il laissait quelques choses pour lui-meme au lieu de faire les presentations pour des travailleurs.
        -Non, ce n'est pas riel.- " amiral " avait repondu resolument.-Mais Vous pouviez d'avoir une compensation morale. En effet, Vous avez offert en sacrifice une partie de Vous ! N'est ce pas ?
        Michel s'indigna.
        -C'est quoi que Vous entendez par la? J'etais ami de Serge pas pour l'argent!
        " Amiral " dit n'en ayant pas note l'indignation d'introlocuteur :
        -Sergei Antonovich a un tableau que Vous connaissez.
        " Amiral " decrit " le schema de bicyclette ". Michel fit un signe de tete affirmatif.
        -Donc, Vous apporterez cette tableau a moi et Vous recevrez…-" amiral "avait dit la somme.
        La somme est bonne, mais je ne comprends pas comment j'en y pourrais faire. Serge ferait du bruit ;
        commencerait une instruction…
        " Amiral de la Flotte " coupa court Michel :
        - C'est peu possible qu'il fasse du bruit. Mais pour etre sur je Vous donnerais la copie du tableau. C'est assez dur de la distinguer d'avec et substituer les toiles. Ca va?
        -Et quoi ferait Serge ?
        -Il dormirait. Ajoutez cette poudre dans son verre.-" Amiral " tendit au Micha petit paquet a papier.- Aussi tot qu'il aura dormi, Vous m'appellerez. Demi-heure apres Vous remettrez le tableau a la personne qui est appele Kazimir et toucherez la douzieme moitie d'argent. Si Vous etes d'accord, Vous recevrez la copie et un acompte maintenant.
        -Mettons que je suis d'accord. J'emporterai la toile et Votre Kazimir m'assassinerait!
        -Avant tout, je ne suis pas un assassin et au douzieme je suis un collectionneur. Et je regretterai beaucoup si la toile se perde dans les casemates de milice.
        -Mais pourquoi Vous ne feriez ca par Vous-meme?
        -Oui, Vous avez raison. Je peux le faire par moi-meme mais pour Vous c'est plus facile. Et puis, je veux assurer Votre future. J'ai un interet, croyez-moi.
        Et " amiral " effleura la paume de Micha.
        -Donc, ca va?
        -Ca va. -Michel dit et mit l'enveloppe d'argent dans la poche de veston…
       
        Le jour suivant, ayant manque deux premieres lecons, Michel vint au atelier de peintre.
        -Mefodij! J'ai une demande a Vous adresser. Pourriez-Vous fabriquer la maquette du ce tableau vers le soir d'aujourd'hui?
        Michel montra la copie " d'amiral ".
        -Ca depende de la grandeur du verre de vodka que Vous m'offrirez. Hm! Le tableau curieux…
        Le peintre grommela en regardant a la toile avec l'interet.
        -Ca va aller avec 50 roubles?-proposa Michel.
        -Pleinement. -Mefodij dit.
        Le meme soir Michel s'agris dans la toit de la maison de Sergei Antonovich y ayant cache las copie. Il fit tant vigilant comme l'agent professionnel.
        -Demain j'attende Kazimir. -Michel assura " amiral ".
        -Parfait !
        Michel comprit definitivement qu'il prit la decision correcte.
       
        La soiree " X " fit comme les autres dernieres soirees.
        Pleurnichement, grommelage et des questions ennuyants. Est-ce que son " beau garcon " va attendre de Serge ?
        -Serge, ca m'embete finalement ? Tu peux me dire ou tu vas partir ?
        Michel effleura la main de Sergei Antonovich.
        -Je vais aller au voyage de la quelle, parfois, on ne rentrerait jamais. Oh ! Si tu savais comme je n'en veux pas !-Serge murmura en saisissant la main de Michel.
        Sa voix commenca a faiblir, trebucher. Et bientot, Sergei Antonovich s'endormis, s'etant fiche a la nappe du table. Michel attrapa " le schema de bicyclette " de la mur et accrocha la copie de Mifodiy.
        -Je suis pret. -il dit au telephone.
        -Parfait. Kazimir Vous attendra en bas dans demi-heure.
        Michel ferma solidement les portes et les fenetres des dortoirs. Il coupa la lumiere et ouvra les plaques d'une cuisiniere avec les mots : " Pardon-moi, Serge, mais il vaux mieux pour tous et pour toi-meme que tu ne revienne de ton voyage. "…
       
        -Avez-Vous la toile ?-Kazimir demanda.
        Michel fait un signe de tete affirmatif.
        -Marchons a la voiture. On fait le changement la bas. -Kazimir exigea.
        Ils se dirigerent vers la voiture pue marquant. Ayant enleve le papier du tableau et ayant l'examine,
        Kazimir donna l'enveloppe a Michel. La pile dedans fit assez compacte.
        Etant monte sur le toit par autre entree, Michel prit l'original, mit au papier Whatman, et s'achemina vers la gare. L'autobus regulier se mit a travers les champs de nuit et se precipita vers la direction du ouest. Au terminus Michel prit le train pour Riga…
       
        -Eric Ernestovich, l'appelle pour Vous!-l'infirmier dit, ayant regarde au cabinet de stomatologie.
        - Oui, j'ecoute.- Eric roucoula.
        - Bonjour, Eric. C'est Michel, l'ami de Sergei Antonovich .Vous me souvient?
        - Ah, oui, bien sur. Ce n'est pas possible d'oublier joli garcon, comme Vous! Vous etes ici avec Sergei Antonovich ?-Eric gloussa.
        -Non, je suis seul ici. Sergei Antonovich a quelques problemes, et il m'avait demande si Vous voulez encore de procurer le tableau qui Vous interesse.
        - Bien sur, j'en veux !-le dentiste s'agita.
        - Parfait, si Vous etes d'accord, je pourrais venir chez Vous aujourd'hui soir.
        Le dentiste dicta l'adresse.
       
        Michel se promenait par les rues de vielle ville. Les piques pointures de cathedrales decousaient les interieurs de nuages. Vltava frappait les vagues noirs de plomb coutre le rivage. Bientot vent froid,
        sentant iode et de la pluie, fit entrer Michel au petit cafe sombre.
        - Bon, montrez-le, decouvrez-le, ma tout bonne.- Eric pressa en begayant.
        En prenant son temps, sans agitation louche, Michel ouvra le papier de Whatman.
        -C'est ca, Votre reve ? N'est ce pas ?-il dit et deroula la toile.
        Eric devisageait le tableau, puis il s'eloigna. Il la mit sur la lumiere et sur l'ombre. Ses yeux etaient pleins de feu. Son barbe tremblait, aussi bien que l'alchimiste creant pierre philosophale.
        -Je le prends. Quelle est votre prix ?- Eric demanda en regardant Michel sans interet.
        - Serge Vous avait deja dit la somme.
        - Bon, c'est le chiffre assez acceptable. Et, moi, je paierais, surement si l'hote de cette chose etait present ici maintenant. Mais il n'assiste pas, et je ne comprends pas clairement comment Vous pouviez procurer ce tableau. Si Serge vient ici, en la demandant de retourner ? Que est-ce que je dois faire ?
        Eric rabattait evidement le prix.
        - Mais, bien sur, que je crois a Vous. Vous devez me comprendre, mon joli garcon. -Eric avait dit la somme nouvelle.
        - Donc, je vais rappeler…,-Michel dit au hasard le nom du membre du Partie Communiste de Lettonie. -Il
        donnera cette somme sans marche. Serge m'a donne son numero de telephone.
        Michel commenca tranquillement de rouler la toile.
        -Ok, ok. Je crois. L'argent sera pret seulement demain. Vous savez que on ne garde pas l'argent comme ca a la maison.
        -Parfait. Demain.
        - A propos, Vous dormez ou ? -Eric s'interessa.
        - Nulle part.
        -Dans ce cas j'ai un pretexte de Vous inviter chez moi ! Qu est que Vous pensez ?
        Le jour prochain Michel disparu dans l'espace de troisieme Rom avec l'argent et le passeport pour le nom de Zapol'skij Georguy Adamovich. " Rien ne me retient ici dans ce pays, Serge. "- a dit Georguy Adamovich, ayant fait sa malle. Il y jeta couple d'icones-krasnuha, comme heritage de sa grand-mere et quitta " le troisieme Rom " pour le pays " de grand diable ".
        " Don't warry,baby! Be happy! " - Georguy Adamovich chanta en s'asseyant dans l'avion.
        Le vent de cimetiere froufroutait des fleures pour Serge.
       
        -A Dieux!- Georguy Adamovich salua galamment au compte.
        Et ayant mit l'argent dans la poche de veston se dirigea vers le sortie.
        - Mais pourquoi ? J'ai une soiree apres-demain. Les jeans interessants seront la. -Le compte appella quelques noms russes nobles.
        Et, ayant donne l'invitation au Georguy Adamovich, le compte s'est dirige vers son bureau. Georguy Adamovich s'arreta pres de miroir ancien.
        " Mais ca va pas mal. Bien sur je ne suis pas deja cette " peche sucree ", mais je suis encore capable de toucher Votre " petit sucoir "!
        Le jour fixe , ayant se fait beau, avec le document pour le nom de Moche Kaplan, Zapol'skij-Krasavin vint au banquet du compte.
       
       
       

       
       
Îãëàâëåíèå     Çàïèñíàÿ êíèæêà